BELT : oui, mais pas à n’importe quel prix

Marie-Louise Tardif. (Photo Monlatuque.com - Michel Scarpino)

En entrevue de début d’année sur monlatuque.com, la députée de Laviolette Saint-Maurice, Marie-Louise Tardif, est revenue sur la déclaration du nouveau directeur général de ville de La Tuque, Pierre Pacarar, qui affirmait que le projet Belt n’était « pas un bon projet ».

Sans se dire pour ou contre le projet, elle a d’abord rappelé que son gouvernement avait octroyé un montant de 1 M$ en juin dernier pour une étude servant à évaluer les coûts pour rendre à double circulation le pont de rivière au lait.
Cet élément a été déterminé comme prioritaire par les dirigeants du projet BELT pour favoriser la circulation vers le site Vallières et la route 25.

La question de l’approvisionnement et de la matière première pour approvisionner l’éventuelle bioraffinerie forestière préoccupe également Marie-Louise Tardif.
«On parlait initialement de résidus forestier, Ils ont constaté que les résidus forestier, à grande échelle pour la quantité qu’ils désirent avoir, ce ne sera pas possible, parce que ce ne sera pas rentable », ajoute Mme Tardif, selon laquelle il serait maintenant question d’autres types de résidus.

La députée entend suivre les prochains développements dans ce dossier, surtout qu’il y a de plus en plus de demandes d’harmonisation du territoire avec l’industrie touristique
«Est-ce que ce serait intéressant d’avoir ça à La Tuque ? Oui, mais pas à n’importe quel prix», nuance la députée Marie-Louise Tardif.

Voici les propos de Marie-Louise Tardif où il est question du projet de BELT.